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21- ARCHIVES

    ARCHIVES 201 à 210Résultat de recherche d'images pour "prof"

 

 document 210 : Damien Seguin, une seule main et zéro limite

Ici à bord de son voilier

Le 8 novembre 2020, Damien Seguin, skipper né sans main gauche, a mis les voiles pour le Vendée Globe : son rêve de gosse.

Il devient ainsi le premier handisportif à participer à ce tour du monde en solitaire extrêmement difficile (même pour des "musclors").

"Je suis un compétiteur, je ne peux pas me satisfaire de viser le milieu du tableau", note le skipper né le 3 septembre 1979 à Briançon (Hautes-Alpes).

"C'est quelqu'un d'exigeant", confirme Jean-Paul Dubois, son coach en voile paralympique, vantant son "jusqu'au-boutisme". Parfois même au point d'en oublier son environnement. Mais il a "progressé sur ce point", sourit celui qui se dit "épaté" par sa participation au Vendée Globe. "C'est une sacrée prouesse", juge-t-il, certain aussi que sa course fera "avancer la cause des personnes handicapées qui ont envie de faire autre chose que ce qu'on aimerait qu'elles fassent, c'est-à-dire rester dans un coin".

A l'heure ou certains (sans handicap) trouvent qu'apporter son livre de SVT en classe c'est trop lourd... tout cela fait normalement un peu réfléchir...

On peut le suivre en direct sur Facebook ici : https://www.facebook.com/DamienSeguin.le.Defi

pour en savoir (beaucoup) plus : https://www.voileetmoteur.com/voiliers/actualite-voile/regates-courses/damien-seguin-cap-sur-le-vendee-globe/86095

source : handicap.fr, wikipedia

 

  document 209 : Fabrice Amedeo, un skipper au service de la science!

Fabrice Amedeo vient de prendre le départ du Vendée Globe 2020/2021.

A bord de son voilier, des capteurs océanographiques ont été installés. Objectif : fournir, tout au long de la course, des données aux scientifiques pour mieux comprendre le réchauffement climatique et la pollution des océans.

Fabrice Amedeo recueillera des données scientifiques tout au long du Vendée Globe • © Jean-Marie Liot

"En tant que marin, nous sommes les premiers témoins de la dégradation de nos océans. J'espère que les capteurs que je vais embarquer sur ce Vendée Globe vont permettre de rapporter beaucoup d’informations sur l’état et la fragilité de nos océans", témoigne le navigateur Fabrice Amedeo.

Deux capteurs océanographiques

Le premier capteur a été installé en 2019. Il mesure la teneur en CO2, la salinité et la température de l’eau. Les données récoltées seront transmises par satellite à des laboratoires scientifiques notamment l’Ifremer, l'Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer ou l'Université de Bordeaux. Objectif : mieux connaître l'état de santé des mers. "Ces données permettront aux scientifiques de mieux comprendre les conséquences de l’augmentation du C02 dans les mers et le réchauffement climatique", détaille Fabrice Amedeo.

Le second capteur a été mis en place en juin dernier et a été testé lors de la course Vendée-Arctique. "C’est un système qui filtre l’eau et permet de piéger les micro plastiques.

Il évalue leur quantité, leur répartition et leur toxicité dans les océans", explique le skipper. Pendant la course, le navigateur changera quotidiennement les filtres et stockera les échantillons prélevés. Grâce à ces prélèvements, les laboratoires étudieront la nature des micro plastiques présents comme le polyéthylène, composant des sacs en plastiques, le polyéthylène téréphtalate, utilisé dans les bouteilles en plastique et le polyamide que l'on retrouve dans les textiles. Les scientifiques établiront une cartographie des polluants.Pour les chercheurs, ce partenariat est une véritable opportunité. Il n'existe encore que peu de données sur ces zones maritimes rarement fréquentées.L'idée d'équiper les bateaux et d'utiliser les courses au large pour la recherche n'est pas nouvelle et date des années 2000.

Le navigateur francilien, ancien journaliste, participe également à un programme de sensibilisation du jeune public à la préservation des océans : "Cétacé ! L’Océan boit la tasse".

source : https://france3-regions.francetvinfo

 

 document 208 : " COVID19... " : pour ceux qui aiment les chiffres, les graphiques

Vous pouvez suivre, à l'aide de nombreuses données scientifiques, l’évolution de l'épidémie dans le monde entier et plus particulièrement en France en cliquant sur ce lien

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-covid-19-morts-hospitalisations-age-malades-l-evolution-de-l-epidemie-en-france-et-dans-le-monde-en-cartes-et-graphiques.html

La COVID-19 affecte les individus de différentes manières. La plupart des personnes infectées développent une forme légère à modérée de la maladie et guérissent sans hospitalisation.
 

 
Symptômes les plus fréquents:
fièvre
toux sèche
fatigue
 
 
Symptômes moins fréquents:
courbatures
maux de gorge
diarrhée
conjonctivite
maux de tête
perte de l’odorat ou du goût
éruption cutanée, ou décoloration des doigts ou des orteils
 
 
Symptômes graves:
difficultés à respirer ou essoufflement
sensation d’oppression ou douleur au niveau de la poitrine
perte d’élocution ou de motricité
 
Si vous présentez des symptômes graves, consultez immédiatement un professionnel de santé. Avant de vous rendre chez votre médecin ou dans un établissement de santé, contactez-les toujours par téléphone.
 
Les individus présentant des symptômes légers, mais qui sont par ailleurs en bonne santé, doivent se soigner chez eux.
En moyenne, l’apparition des symptômes chez une personne infectée par le virus prend cinq à six jours. Cependant, ce délai peut s’étendre jusqu’à quatorze jours.

 

  document 207 : " curieux Requin griset... " ou requin à maquereaux (Hexanchus griseus)

Merci au groupe de 5° qui, qui pendant les recherches "fêtes de la science" m'a fait découvrir cette espèce impressionnante...

 vidéo 1 (avec quelques réactions de scientifiques au moment de l'observation) :

Cette espèce serait apparue pour la première fois il y a plusieurs centaines de millions d’années. Il se déplaçait à 500 mètres de fond quand les scientifiques l'ont vu surgir pour chasser une proie avant de s'attaquer au sous-marin de l'équipe scientifique américaine. Des images impressionnantes...

https://www.futura-sciences.com/planete/videos/etonnante-rencontre-mysterieux-requin-profondeurs-6392/

vidéo 2 :

https://www.youtube.com/watch?v=jZhcTL7I6xg

La fiche WIKIPEDIA

 

 document 206 : " grain de sable... "

 

https://www.geodiversite.net/IMG/jpg/QuartzEolien.jpg

grain de sable... au microscope électronique

 

https://www.infoclimat.fr/photolive/photos/2019-12/816159221220191048.jpg

La Dune du Pilat est le site touristique le plus visité de Nouvelle-Aquitaine

La Dune du Pilat est le site touristique le plus visité de Nouvelle-Aquitaine / © CC by Edwin van Buuringen via Flickr

 

  • Région : Sud-Ouest
  • Lieu : A l'Ouest de Bordeaux (à 10 km d'Arcachon)
  • Longueur : 2700 Mètres
  • Hauteur : 114 Mètres
  • Base : 500 Mètres
  • Volume : 60 Millions de mètre cubes de sable

 

L’histoire des grains de sable se compte en millions d’années. Issu de l'érosion des massifs montagneux (Pyrénées, Massif central), le sable est transporté par les fleuves jusqu’à la mer. Sur le littoral, il se laisse porter par les vagues qui le déposent sur les plages. Il est ensuite arraché par le vent du large et transporté vers l’intérieur des terres.


C’est en rencontrant des obstacles, comme de la végétation, qu’il peut s’accumuler et former une dune. Située à l'embouchure du Bassin d'Arcachon, la dune du Pilat a bénéficié d'apports en sable importants au cours du temps.



Malgré de nombreuses tentatives passées pour la stabiliser, la dune du Pilat reste mobile et « roule » sur elle-même. Son mouvement, favorisé par la rareté de la végétation, se poursuit tant que le vent apporte du sable. Ainsi, elle se déplace de façon irrégulière entre 
1 à 5 m par an vers la forêt.

Le sable de la dune est essentiellement constitué de grains de quartz d’environ 0,3 mm.

 

 

 document 205 : " bientôt le déconfinement... "

https://www.bibamagazine.fr/wp-content/uploads/biba/2020/05/2-14-410x410.jpg

 

 

(PS : pour comprendre cette blague il faut juste connaître la définition de MASCARA...)

mascara : Maquillage qui s'applique sur les cils. Produit cosmétique qui permet de surligner les yeux à l'aide d'une brosse

 

 document 204 : " L'appel... à distance "

https://www.zupimages.net/up/20/16/n9oc.jpg

B

 document 203 : " Des VIRUS à l'attaque "

https://www.sciencesetavenir.fr/assets/img/2020/02/28/images_list-r4x3w1000-5e58d501b184b-7-sars-cov-2.jpg

On voit ici (en bleu), une multitude de particules virales (des virus donc) s'accolant à une pauvre cellule (au centre en marron) : elles s'y multiplieront et en ressortiront encore plus nombreuses!

(la cellule ne pourra donc plus assurer ses fonctions et finira par mourir)

 

Les nombreux nouveaux virus partiront à leur tour envahir d'autres cellules (etc...)

Le COVID 19 s'attaque aux cellules des alvéoles pulmonaires (d'où les images que vous voyez en ce moment des patients sous assisance respiratoire)

La suite de l'article est un peu compliquée, mais conseillée aux 3° :

(vu l'actualité, ça ne m'étonnerait pas que le sujet de BREVET concerne les défenses immunitaires... : attentions aux futurs cours à distance si le confinement se prolonge)

 

Un laboratoire de l'Institut national des maladies infectieuses américain (NIAID) a publié des images inédites du nouveau coronavirus, le Sras-CoV-2, à l'origine de l'épidémie de Covid-19. Les images ont été réalisées au microscope électronique à balayage à partir d'échantillons prélevés chez un patient américain et mis en culture en laboratoire. Chaque particule virale, ou virion, apparaît avec sa couronne de piques caractéristique de la grande famille des coronavirus. Sras-CoV-2 est la septième souche à pouvoir infecter l'humain : 4 provoquent chaque année des infections bénignes et 2 des formes sévères, le Sras-CoV de 2003 et le Mers-CoV de 2012. 

Il s'agit d'un virus à ARN, une version en quelque sorte simplifiée de l'ADN, dont le génome comprend une dizaine de gènes. Les protéines de surface (S) qui couronnent l'enveloppe des particules virales sont celles qui permettent au virus de s'accrocher aux cellules pour les infecter. Une fois à l'intérieur de la cellule, le virion se sert de la machinerie génétique pour se reproduire. Les nouvelles particules virales émergent alors de la cellule pour poursuivre ce cycle de réplication sur d'autres cibles dans l'organisme. Pour créer un vaccin, il faut reproduire ces protéines S seules, dans une version non pathogène. Une fois injectées, ces protéines seront identifiées par le système immunitaire comme un corps étranger contre lequel il faut développer des anticorps spécifiques. De sorte que si une infection réelle survient, l'immunité disposera déjà de ces anticorps adaptés, capables d'éliminer les virions dès qu'ils entrent en contact avec l'organisme.

 

(sciences et avenir)

r

 document 202 : " Outil de suivi du COVID-19 "

 

https://i1.wp.com/www.01net.com/i/0/0/8602ff/6adc3f9abbae83617abeabe95e.png?w=696&ssl=1

 

LES COURBES SONT EN BAS DE L'ARTICLE

  https://bing.com/covid?fbclid=IwAR1n0ARm83tMhuSHzq0U1Dsa8z35i4fsxLMlb8XPkbONAvucNsZOMwUi-FU

 

Attention : ces chiffres sont à prendre avec précautions (il est difficile de connaître exactement le nombre de contaminés, ils ne sont pas tous détectables... : mais tu peux les comparer aux nombres de décès dans différents pays du monde)

Le but n'est pas de te faire paniquer..., mais de montrer que ce microorganisme ultra perfectionné... est particulièrement efficace pour s'étendre d'un humain à l'autre!

En parlant de précautions : n'oublie pas d'appliquer ce que tu entends à longueur de journées (lavages de mains, "isolement"...)

 

 document 202 : "bientôt le printemps!"

 

https://i.pinimg.com/564x/45/bb/f7/45bbf7815bdd1005a23cf05c995cf850.jpg

 

 

 document 201 : "ne te fie pas toujours aux apparences"  (2 documents)

* document 1 - source https://www.lanouvellerepublique.fr

Probablement handicapé par un problème à une jambe, il a été écrasé par un lourd bloc de pierre.

Probablement handicapé par un problème à une jambe, il a été écrasé par un lourd bloc de pierre.
© Photo Site archéologique de Pompéi

Lors de nouvelles fouilles sur le site de Pompéi, des archéologues ont découvert le squelette d'un homme d'une trentaine d'années, écrasé par un énorme bloc de pierre, lors de l'éruption du Vésuve.

Les images sont assez saisissantes. Lors de fouilles d'un secteur encore inexploré du site de Pompéi,  des archéologues ont mis à jour les restes d'une nouvelle victime de l'éruption du Vésuve qui a détruit la ville en l'an 79 de notre ère. 

Un homme, âgé d'une trentaine d'années, qui a visiblement connu une fin tragique. Il a en effet été retrouvé allongé sur le dos, le thorax et la tête écrasée par un bloc de pierre de 300 kg, "sans doute un jambage de porte", explique dans un communiqué le site archéologique.

 

sauf... qu'il y a un petit problème (voir document 2)

 

* document 2... : source https://www.lemonde.fr

 

Résultat de recherche d'images pour "ecrase par pierre" l'angle de vue change tout!

L’homme de Pompéi n’a pas été écrasé par un bloc de pierre, selon des fouilles complémentaires

vidéo Des archéologues pensaient qu’un homme exhumé à Pompéi était mort écrasé par un bloc de pierre. Des fouilles supplémentaires ont permis d’invalider cette thèse.

Publié le 02 juillet 2018 à 18h32 - Mis à jour le 02 juillet 2018 à 18h37

VIDEO

https://youtu.be/xjYSgabGnZE

 

En mai 2018, des archéologues ont découvert à Pompéi les restes d’un homme dont la partie supérieure semblait écrasée par un bloc de pierre. Ils avaient conclu que le bloc, projeté par l’éruption du Vésuve, en 79 après J.-C., avait probablement écrasé l’homme malchanceux dans sa fuite. Pourtant, des fouilles supplémentaires plus profondes ont mis au jour le crâne de l’homme. Et il est intact. Ce qui discrédite la thèse du bloc de pierre meurtrier. La tête se serait donc détachée du corps après un affaissement de terrain. La mort n’aurait donc rien d’extraordinaire : a priori, une asphyxie due aux nuées de gaz et de cendres projetées par le volcan.

 document 199 : "ne te fie pas toujours aux apparences"  (2 documents)

* document 1 - source https://www.lanouvellerepublique.fr

Probablement handicapé par un problème à une jambe, il a été écrasé par un lourd bloc de pierre.

Probablement handicapé par un problème à une jambe, il a été écrasé par un lourd bloc de pierre.
© Photo Site archéologique de Pompéi

Lors de nouvelles fouilles sur le site de Pompéi, des archéologues ont découvert le squelette d'un homme d'une trentaine d'années, écrasé par un énorme bloc de pierre, lors de l'éruption du Vésuve.

Les images sont assez saisissantes. Lors de fouilles d'un secteur encore inexploré du site de Pompéi,  des archéologues ont mis à jour les restes d'une nouvelle victime de l'éruption du Vésuve qui a détruit la ville en l'an 79 de notre ère. 

Un homme, âgé d'une trentaine d'années, qui a visiblement connu une fin tragique. Il a en effet été retrouvé allongé sur le dos, le thorax et la tête écrasée par un bloc de pierre de 300 kg, "sans doute un jambage de porte", explique dans un communiqué le site archéologique.

 

sauf... qu'il y a un petit problème (voir document 2)

 

* document 2... : source https://www.lemonde.fr

 

Résultat de recherche d'images pour "ecrase par pierre" l'angle de vue change tout!

L’homme de Pompéi n’a pas été écrasé par un bloc de pierre, selon des fouilles complémentaires

vidéo Des archéologues pensaient qu’un homme exhumé à Pompéi était mort écrasé par un bloc de pierre. Des fouilles supplémentaires ont permis d’invalider cette thèse.

Publié le 02 juillet 2018 à 18h32 - Mis à jour le 02 juillet 2018 à 18h37

VIDEO

https://youtu.be/xjYSgabGnZE

 

En mai 2018, des archéologues ont découvert à Pompéi les restes d’un homme dont la partie supérieure semblait écrasée par un bloc de pierre. Ils avaient conclu que le bloc, projeté par l’éruption du Vésuve, en 79 après J.-C., avait probablement écrasé l’homme malchanceux dans sa fuite. Pourtant, des fouilles supplémentaires plus profondes ont mis au jour le crâne de l’homme. Et il est intact. Ce qui discrédite la thèse du bloc de pierre meurtrier. La tête se serait donc détachée du corps après un affaissement de terrain. La mort n’aurait donc rien d’extraordinaire : a priori, une asphyxie due aux nuées de gaz et de cendres projetées par le volcan.

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