CORDEES DE LA REUSSITE (3°) 2013-2014 (collège Paul Fourrey)

Collège Paul Fourrey  (ZEP) (89400 Migennes)  - Tél: 03.86.80.00.66

Auxerre-La Brosse, ancienne école d'agriculture fondée en 1882 (89290 Venoy) http://www.terresdelyonne.com/

Année 2013/2014

Sur cette page vous saurez bientôt tout de ce projet et de nos experts!!!

Elle se construira petit à petit (projet 2013/2014).

Le projet fait intervenir (en dehors des enseignants) :

... 6 élèves de 3°1 du Collège Paul Fourrey (Emeline-Tarik-Clémentine-Mahault-Thomas-Nathanael)

et 4 étudiantes du lycée La Brosse (Mélanie, Marion, Cécilia, Stessy) en 2° année ANABIOTEC.

la visite de fin d'année

****

(lien vers les autres site "cordées de la réussite" du département : à venir)

les 6 collégiens

tout le monde s'est maintenant présenté

Nathanel-Mahault-Tarik-Clémentine-Emeline-Thomas

Tarik :

Je m'appelle Tarik Bel Hajjam, je suis en 3eme1 au collège Paul Fourrey.
Je me suis inscrit aux cordées de la reussite, car j'aime manipuler et faire des expériences.

Avec les cordées nous pouvons aussi faire des voyages ce que nous ne pouvons pas faire en classe entière.
Les étudiantes du Lycée La Brosse nous apprennent beaucoup de choses que nous navons jamais vues et qui nous renseignent sur des aspects de la vie de tous les jours.

Ma passion?... c'est justement de ne pas reveler mes passions.

Clémentine :

Je m'appelle CLEMENTINE.

Je suis de la même classe que tous les autres participants : la 3°1 (une classe dans laquelle l'ambiance n'est pas toujours favorable au travail).

En revanche, quand nous sommes entre élèves de cordées,on arrive bien à se motiver et à bien travailler en autonomie (et moi je préfère...).

En dehors du collège j'aime bien lire des mangas et jouer du piano.

Ce que je préfère dans le projet ce sont les sorties avec les tutrices (par contre, récupérer les cours est assez pénible).

Mahault : 

Je m'appelle Mahault Lery-Maudens,je vais avoir 15 ans dans quelques mois.

Je suis en 3° au collège Paul fourrey à migennes.

Je fais de la danse à auxerre à l'école évi'danse

Je participe au projet des cordées de la réussite car je ne sais toujours pas ce que je veux
faire plus tard et du coup je voulais découvrir les sciences sous une autre forme
que celle que l'on apprend au collège .

(surtout nous avons fait des expèriences que nous n'aurions jamais fait dans un classe de 28 élèves)

Et je ne suis pas déçue :)

 Thomas :

 Je m' appelle thomas Renard , j'ai 14 ans .
    Mes loisirs sont la chasse et la pêche.

J'ai voulu m'inscrire aux cordées de la réussite car l'année prochaine je voudrais aller au Lycée  La brosse.
Je suis assez curieux je voulais savoir ce qu'était ce projet.

   Ce qui me plait dans les sciences : faire des expériences, savoir ce que j'ai dans mon assiette ....
    L'année prochaine je voudrais m'orienter vers un CAP ou bac pro travaux publics .

Emeline :

Je m'appelle Emeline...

Je suis aussi en 3°1. J'aime bien le projet des cordées, je trouve ça intéressant (manipulations, sorties...).

Je suis impatiente de savoir de ce que nous allons faire la prochaine fois.

J'aime bien écouter de la musique, lire, faire du sport (bad', surf...) ...

Nathanael :

Je m'appelle Nathanaël Ramalho. J'ai 14 ans. J'habite a ormoy.

Je me suis inscrit aux cordées pour apprendre de nouvelles choses qui pourraient sans doute me plaire et je ne me suis pas trompé.

Cela me plait beaucoup les cordées parce que j'aime beaucoup faire des expériences et comme mes matières préférées sont les maths, les svt et la physique-chimie, cela m'a permis de savoir plus de choses dans ces matières là.

Ce projet nous permet aussi de sortir de notre classe avec laquelle on ne peut pas faire des expériences de ce type (nous sommes toujours 28).

Ces projets nous permettent d'" apprendre en s'amusant ".

Les professeurs qui nous accompagnent sont aussi très cools avec nous.

Mélanie, Marion, Stessy et Cécilia sont également très sympathiques et efficaces

Comme activité je fais de la guitare qui me permet de me " détendre " après les cours.

 Pour l'instant je n'ai pas d'idée très précise sur mon futur métier (police?, biologie?...)

les 4 étudiantes (tutrices)

Mélanie :

J'ai 19 ans et j'ai suivi une première et une terminale ST2S (qui n'a pas grand chose en commun avec les laboratoires).

J'ai obtenu mon bac et vu que j'avais un goût pour les sciences, les manipulations et les labos, j'ai candidaté pour ce bts anabiotec.

J'aime beaucoup cette formation car on voit beacoup de choses, on "touche un peu à tout" aussi bien dans le domaine agroalimentaire que dans la biologie humaine, la microbiologie, la chimie, et même les biotechnologies.

Ensuite j'envisage de continuer soit en licence, soit en prépa pour préparer le concours C et intégrer une école d'ingénieur (agroalimentaire ou autre).

Cécilia :

 Petit résumé :

Cette formation me plait, elle nous permet de découvrir et d'apprendre des techniques dans divers domaines liés au laboratoire (médical, environnement...) grâce aux nombreuses manipulations et travaux pratiques.

 

Le projet est intéressant  car il nous permet d'échanger avec des collégiens et de leur faire découvrir par des expériences simples, le monde du laboratoire et des sciences.

 

J'aimerais faire une licence pro dans le domaine de la santé pour me spécialiser davantage pour travailler par la suite en laboratoire d'analyses médicales.

 

Stessy :

Marion :

DENIS Marion 

J'aimerais continuer en licence pro pour me spécialisé en qualité en agro alimentaire ou bien essayer de passer les concours au niveau des services vétérinaires pour effectuer les contrôles.

l'équipe d'enseignants  

Mme Roussel :

"Mon poste précédent d'enseignante en physique-chimie et en
biotechnologies a joué forcément dans les thèmes proposés pour mettre
en place la coopération entre le collège Paul Fourrey de Migennes et le
Lycée Auxerre La Brosse où je travaille aujourd'hui comme proviseure
adjointe.

Les sciences expérimentales au cours des enseignements réalisés avec
des publics extrèmement différents m'ont permis de faire découvrir et
de rendre accessible, au travers de manipulations, le monde scientifique
qui entoure notre vie quotidienne.

C'est pourquoi, avec la collaboration précieuse et enthousiaste de
Stessy, Marion, Cécilia et de Mélanie, faire découvrir le monde
appliqué des sciences à des jeunes collégiens me permet toujours de
conserver une curiosité, un goût du partage et de l'émerveillement de
la découverte."

Mme Germain :

Je suis Audrey Germain, professeur de physique chimie au collège Paul fourrey où j'enseigne depuis 3ans.

J'ai toujours eu le goût pour les matières scientifiques en particulier pour la physique chimie, et c'est grâce à mes professeurs de physique au lycée que j'ai eu envie d'exercer ce métier, je leur en suis très reconnaissante : )

J'ai accepté d'encadrer nos jeunes collégiens pour ce projet car j'aimerais à mon tour leur donner goût aux sciences et leur faire découvrir les sciences autrement et les cordées de la réussite est un bon moyen de parvenir à mes objectifs.

Mr Halley :

- oui c'est pourquoi...???

*... pour une interview...

- ah!... vous tombez mal là... avec tout ce travail sur le site pour les cordées.... je n'ai pas beaucoup de temps en ce moment

* même pas pour quelques minutes ???

- bon, d'accord... que voulez-vous savoir ?

* pourquoi avez-vous choisi de vous engager dans ce projet? - l'idée de travailler avec des élèves volontaires et motivés m'intéressait, même si au départ, je ne savais pas du tout ce qui aller se passer... mais je suis plutôt curieux et sachant que je ne serai pas seul (merci Mme Germain) je me suis lancé

* si vous avez encore un peu de temps.... (?) ....

- euh... oui, mais faites vite, là je dois récupérer les 6 élèves des cordées vite fait entre 2 cours...

(et... hum...  j'aimerais aussi avoir le temps d'aller aux toilettes...)

* quelles sont vos premières impressions?

là c'est très différent, les élèves sont en très petits groupes,bien autonomes, impliqués, ils peuvent voir et utiliser du matériel qui n'est pas disponible au collège, ils sont très bien assistés par les 4 tutrices qui maîtrisent et aiment leur sujet

 l'idée du lien collégiens/étudiantes est très intéressante, et je ne suis pas déçu (cela fait du bien de voir des élèves avoir du plaisir à réaliser des activités scientifiques)

le problème c'est le manque de disponibilité  (les élèves et les enseignants n'ont pas d'horaire dans leur emploi du temps pour faire  tout ça)

 * nous vous remercions

 

Les cordées de la réussite : qu'est-ce que c'est ???

Non, non, ce n'est pas en rapport avec l'UNSS..., pas une activité menée en haute montagne...

 

Mais c'est un dispositif qui existe maintenant depuis plusieurs années.

 

Son but est de favoriser l’accès à l’enseignement supérieur de jeunes quel que soit leur milieu socio-culturel, en leur donnant les clés pour s’engager avec succès dans les filières qui peuvent être de haut niveau!

 

Dans notre cas, le collège de migennes est en ZEP, et ce sont des étudiantes du Lycée Labrosse qui "ouvrent la voie" (les premières de cordées).

 

Lors de nos visites à La Brosse il n'est pas rare que les professeurs rencontrent d'anciens élèves de Paul Fourrey qui réussissent très bien dans des orientations qui peuvent paraître pointues.

microbiologie

lors de cette séance, nous avons découvert :

* comment maintenir l'espace de travail le plus stérilisé possible (nettoyage à l'arrivé et au départ à l'aide de produits destructeurs de microorganismes, lavages de main, utilisation du feu....)

(images internet)

cette zone autour de la flamme du bec bunsen est stérile (on y passe les flacons et divers instruments en cas de besoin)

* comment on pouvait cultiver des bactéries (étalement en boites de Petri, sur des milieux nutritifs, puis mise à l'étuve)

 (images internet)

* comment observer des bactéries (celles du yaourt par exemple) au microscope

 1 - Les bacilles : ce sont des bactéries en forme de bâtonnets, isolées ou attachées en file. Il s'agit de Lactobacillus. Elles sont immobiles car elles ne possèdent pas de cils (contrairement au bacille subtil). 

 ??? (image internet)

(images internet)

La fabrication d'un Lait démaquillant :

Normalement il faut mélanger un produit gras et de l'eau pour en fabriquer : il y a un problème car de l'eau et de l'huile ne se mélangent pas bien!

Par exemple, quand on fait une sauce en mélangeant de l'huile et du vinaigre... ça ne va pas : les 2 ne se mélangent pas.

Pour que ça marche on peut ajouter de la moutarde!

Lors de cette séance, avec nos 4 tutrices, nous avons appris a faire du lait démaquillant avec des produits de base que tout le monde peut avoir!

Ces matères sont les suivantes : paraffine, un émusifiant (là il faut que l'on retrouve ce qui a été utilisé...) et de l'eau, .

On a chauffé ce mélange à 70°C et on a bien mélangé les 3 matières avec un agitateur magnétique.

Nous étions en groupe, et tout le monde n'avait pas les mêmes proportions.

(certains ont même ajouté un produit épaississant : ?)

Pour savoir si le lait était de bonne qualité nous avons fait 2 tests : un test avec une centrifugeuse et un test avec le microscope pour voir si le mélange était bien homogène.

Les mélanges étant différents, les résultats n'étaient pas tous aussi intéressants.

Si on avait eu plus de temps on aurait pu recommencer avec nos propres proportions...

Puis chacun est reparti avec un ou deux échantillons. On a pu les tester sur nous (ou nos parents...) après quand nous sommes rentrés .

Cela fonctionne très bien !

doser des sucres

.

Nous avons utilisé deux outils différents.

* Un premier appareil (qui ressemble un peu à une longue vue)  permettait de mesurer le taux de sucre en plaçant un petit échantillon d'aliment à l'intérieur.

C'est un réfractomètre de Brix

ce que l'on observait ressemblait un peu à ça... (partie gauche)

(image obtenue dans un refractomètre de Brix)

* Un second appareil (encore un réfractomètre) ressemblait lui plus à un microscope et était plus précis, mais il était plus gros et encombrant que le premier.

son nom :? (à voir)

Pour l'utiliser, il fallait également mettre sur une zone transparente l'aliment que l'on voulait doser (compote, miel, jus de fruits...) puis on regardait ce qui était affiché dans l'oculaire.     

*

Nous venons donc de vous présenter les 2 manières que nous avons étudié les aliments pour savoir leur taux de sucre.

Le taux de sucre était donné en gramme pour 100g d'aliments.

- Un groupe a également fait un petit calcul théorique :

1 morceau de sucre dans l'au d'une tasse à café = taux de sucre???

(le calcul a été fait en pesant un sucre, en calculant le volume d'eau dans la tasse...)

Ensuite nous avons comparé avec la mesure par l'un des 2 instruments précédents : les résultats n'étaient pas très différents!   

Qu'est qu'un laboratoire d'analyse sensorielle?

* un laboratoire s'analyse sensorielle c'est une pièce composée de plusieurs cabines individuelles

* chaque cabine comporte différents éléments :

lavabo, lumière rouge/verte/blanche ainsi qu'un un passe plat avec une petite porte

* on s'y retrouve pour faire des tests sensoriels sur les vins et les aliments courants


Comment travailler dans ce laboratoire ?

* On met la lumière rouge qui sert a tromper le sens de la vue (on ne détecte plus bien les différences de couleurs des aliments)

 * Chaque aliment à tester (goût, odeur...) est ensuite apporté par la trappe en face de soi : puis l'heure du verdict sonne

(nous avons testé différents aliments : citrons, cornichons, confitures, cacahouettes, chocolats, miels, huiles d'olive, jus de fruits, grenadines, chips...)

Conclusion

Ce n'est pas toujours facile de détecter des nuances... (exemple : classer 4 concentrations différentes de grenadine)

Dans cette sortie nous avons dégusté et nous avons testé comment faisaient les professionnels dans leurs laboratoire d'analyses sensorielles. Dans le laboratoire ou nous sommes allés on testait surtout le vin.

Bref cela nous a bien intéressé (et surtout nous avons bien mangé... n'est-ce pas "thomas glouton!!!")

 une industrie fabriquant des yaourts

Au mois d'avril, nous sommes allés passer un vendredi matin à l’usine Yoplait qui se trouve a  Monéteau. 

Nous avons appris comment ils faisaient pour faire des Yop, de yaourts, des fromages frais . 

C’est une grande usine de production (230 personnes y sont employées). Nous avons bien aimé cette visite car elle était intéressante et nous avons appris plein de choses.

 Travaux présentés par les collégiens eux-mêmes

 TRAVAIL n°1

"simuler la propagation d'un agent pathogène au sein d'un groupe d'adolescents"... et «  reconstituer des "chaînes de contamination" »

* c'était... une sorte de petite énigme (vue en SVT).

* chacun des élèves (et des étudiantes + professeurs) avait un tube à essai rempli d'eau représentant ses liquides corporels/sécrétions (sang, sueur etc...) : au départ un seul était contaminé (en secret) par (théoriquement) un agent pathogène (micro-organisme provoquant une maladie).

* initialement tous les tubes paraissaient homogènes et on ne pouvait savoir qui est contaminé.

* pour représenter les échanges possibles lors de la vie quotidienne (lors de baisers, la respiration etc...) chacun a échangé à 2-3 reprises la 1/2 de son tube avec un autre (en notant avec qui les échanges on eu lieu).

* on a ensuite recherché les tubes contaminés (quelques gouttes de réactif par tube) : certains tubes étaient positifs (ils représentaient des tubes contenant un agent pathogène), d'autres non.

* on a finalement recherché qui était contaminé au départ (en faisant des hypothèses et en reconstituant les chaînes de contamination).

L'une des étudiantes (Stessy ou ?) avait pratiquement contaminé tout le groupe!

 TRAVAIL n°2

COMMENT FLAMBER UN BILLET DE 5 euros... (sans qu'il brûle... enfin normalement!!!)

[1] Le groupe avait prévu de démontrer, qu'avec un peu de connaissances de chimie, on pouvait flamber facilement son argent et... l’avoir encore après! (si tout va bien)

[2] Un tour très connu des spectacles de magie consiste à brûler de l’argent. Il suffit de tremper un billet — de préférence une grosse coupure — dans une solution, puis de l’enflammer avec une allumette. Le public est alors bien impressionné quand les flammes recouvrent le billet. Le manipulateur éteint alors le feu et présente le billet, intact.

[3] Le billet donne l’impression de brûler, mais en réalité il ne brûle pas réellement (euh... quand Thomas n'est pas aux manettes).

C’est l’alcool enflammé autour du billet qui produit cette impression. La solution dans laquelle le billet a été trempé est composée d’eau et d’alcool.

L’alcool étant inflammable commence à brûler. La chaleur ainsi générée fait évaporer l’eau, ce qui a pour effet de refroidir le billet.

Pour qu’un liquide s’évapore, il doit absorber de la chaleur. Si vous mettez un peu de vernis à ongles sur votre main, vous aurez une sensation de froid causée par le liquide qui se change en vapeur.

C'est la même sensation qui apparaît quand on applique des liquides alcoolisés sur la peau.

[4] Donc l’idée de base, c’est que tant qu’il restera de l’eau à évaporer, le papier n’atteindra pas sa température de combustion. Naturellement, l'équilibre est fragile, le pourcentage eau/alcool doit être bien calculé :  sinon l'expérience risque de coûter cher. (5 euros dans le cas présent : Merci Mr Buteau pour le remboursement)

[5] Ce phénomène a-t-il des applications pratiques? Bien sûr. La prochaine fois que vous irez dans un restaurant chic, commandez pour le dessert des «cerises jubilee». Le garçon versera de l’alcool sur des cerises humides et mettra le feu au plat. Naturellement les cerises ne brûleront pas. Cela donne un beau spectacle et illustre l’effet refroidissant de l’évaporation des liquides.

[6] Lors de notre "démonstration" à La Brosse (après plusieurs répétitions positives), la manipulation a mal tourné... : un 1/3 du billet a pris feu (Thomas avait peut-être utilisé un peu d'alcool pour sa propre consommation... nous l'avons trouvé lent à réagir et à l'éteindre!).

Chacun a fait d'autres hypothèses pour expliquer l'échec : billet pas assez imbibé, parties "métalliques" posant problème, contact de la pince sur le billet...(?)

Visite :

 


Le mercredi 4 juin, nous sommes partis au musée de l'air et de l’espace à Paris (Le  Bourget). 

Le départ a eu lieu à 7h du collège : rendez-vous à la gare de Migennes où nous avons rejoint les autres élèves des cordées (Tonnerre, Auxerre…).

Nous étions environ 40 dans le bus.

Ce n’est que 3h plus tard que nous sommes arrivés…

Première visite : les toilettes… (pour certaines filles c’était très, très urgent) !

 Ensuite : découverte des 2 fusées exposées à l’entrée (maquettes « ariane »).

 
Nous avons poursuivi avec une visite guidée concernant l'histoire de la conquête l'espace. Nous avons vu différentes maquettes de satellites, fusées....mais il y en avait des vrais.

 Le guide était bon et nous a bien raconté un tas d’anecdotes sur la compétition entre les USA et l’URSS.

 
Puis nous avons mangé :)

(dehors, en évitant la pluie de justesse)

  
Ensuite nous avons eu la possibilité d'avoir une visite libre de tout le musée (chaque salle avait un thème : les premiers avions, les as de 1914-1918…).

Nous avons eu aussi l'opportunité de monter dans des avions : dans le concorde, d’autres avions commerciaux, des avions de la seconde guerre...

Avant de partir certains sont passés par la librairie…

Toutes les cordées ont beaucoup apprécié cette sortie.

 (à part le confort et la durée du trajet….)

 BILAN et perspectives

 EVALUATION ...

les appréciations faites par chaque collégien/étudiante sont les suivantes :

... franchement... ça m'a déplu...

... c'était pas mal...

... vraiment trop bien

	Tarik	Emel.	Clém.	Nath.	Thom.	Mah.	Stes.	Céc.	Mél.	Mar.
Relations entre collégiens/étudiantes
Relations collégiens/étudiantes avec les enseignants	(ironie)				hoouuu!!
les manipulations en MICROBIOLOGIE
la fabrication du lait DEMAQUILLANT
des MICRO-ORGANISMES peuvent se répandre dans un groupe
les manipulations "DOSER DES SUCRES"
ANALYSE SENSORIELLE
SORTIE 1 yoplait	?						?			?
SORTIE de fin d'année "musée de l'air et de l'espace"	?	super!	super!	super!	super!	super!	?			?
le problème du TEMPS PRIS SUR LES COURS	humour "Tarik" (cours ratés)						ok	ok	ok	ok

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